Se mobiliser pour la santé des femmes

CHRONIQUE. Chaque année, dans le monde, 121 millions de femmes vivent une grossesse non programmée. Pourquoi l’IVG reste un enjeu majeur de santé publique.

Manifestation le 25 septembre 2021 a Paris pour reclamer un allongement du delai legal de l'IVG de 12 a 14 semaines.

Manifestation le 25 septembre 2021 à Paris pour réclamer un allongement du délai légal de l’IVG de 12 à 14 semaines. © HUGO PASSARELLO LUNA / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP

Publié le 

Dans les tout prochains jours, le droit à l’avortement risque d’être profondément remis en cause aux États-Unis. C’est pourtant le seul pays développé où la mortalité maternelle augmente déjà. En Pologne, depuis 2020, des conditions très restrictives sont requises pour pouvoir interrompre une grossesse, il en est de même en Hongrie. En Europe, les associations homophobes et antiavortement collectent de plus en plus de fonds et se font entendre, non seulement sur les réseaux sociaux mais aussi à Bruxelles. Ailleurs dans le monde, comme nous allons l’illustrer, le droit des femmes est bafoué et leur santé est aussi sacrifiée. Avec la fondation Médecins du monde, il est nécessaire de rappeler que le droit à l’avortement n’est ni un luxe ni un privilège, mais un droit et une nécessité.

Lire la chronique dans son intégralité sur le site du Point.